L’épisode de la pandémie nous a brutalement renvoyés à notre place et à notre rapport au vivant.
Quelles correspondances visibles ou plus invisibles, voire indicibles se mettent en place entre nos préoccupations sociales et écologiques ? Comment redonner une légitimité à ces questions et à leur imbrication pour les faire grandir au sein de collectifs de citoyens?
Nos expériences sensibles sont de profonds transformateurs de notre rapport au vivant. Les habiliter permet le surgissement de propositions émancipées des séparations et spécialisations stériles qui inhibent nos institutions.